Quel est le meilleur couteau pliant rétractable de 2023 ? Top 5, conseils et guide d’achat

Au menu de ce guide d’achat pour survivaliste, quel est le meilleur couteau pliant rétractable ? Mais tout d’abord, qu’est ce qu’un couteau pliant ? Bon c’est assez simple, un couteau pliant possède une lame retractable ou pliable, permettant de le transporter dans un format plus compact, mais aussi avec plus de sécurité, la lame n’étant pas accessible directement.

Choisir un couteau pliant de survie, c’est un peu comme choisir un bon ami, il faut parfois en avoir plusieurs pour différentes situations. C’est une idée répandue chez les passionnés de survie d’avoir une petite collection de couteaux, chacun avec ses propres atouts pour faire face à des circonstances variées. C’est un peu comme avoir un couteau pour tailler du bois, un autre pour préparer le repas, et un autre encore pour des tâches plus délicates.

Rappelez-vous, votre couteau de survie, c’est pas juste un outil, c’est un compagnon de route dans vos aventures. Il fait partie intégrante de votre équipement, tout comme le sac à dos qui contient vos affaires ou la trousse de premiers secours. C’est un élément central de votre kit de survie, celui sur lequel vous comptez quand les choses se corsent. Donc, choisir le bon couteau, ou les bons couteaux, c’est un peu comme préparer un bon plan de secours : mieux vaut être prêt pour n’importe quelle éventualité.

C’est pour cela que nous avons fait nos recherches pour vous aiguiller au mieux dans le choix de votre couteau pliant rétractable. Vous trouverez ainsi ci-dessous une sélection du meilleur couteau pliant rétractable, suivi d’un guide d’achat complet.

Voici donc notre classement et nos retours d’expérience.

Classement du meilleur couteau pliant rétractable

BERGKVIST K29 Titanium Couteau pliant – couteau de survie 3-en-1 avec brise-vitre et coupe-ceinture  : Le meilleur rapport qualité prix

Avantages du couteau pliant Bergkvist K29

  • son magnifique design qui ne laisse personne indifférent
  • lame parfaitement aiguisée dès l’ouverture
  • la prise en main est vraiment agréable

Inconvénients de ce couteau pliant

  • un peu lourd en main avec ses plus de 150g


YOUSUNLONG Couteau de Survie d’extérieur – Lame en Acier Damas 140 mm – avec étui en Cuir et Coffret en Bois de Noyer Naturel américain: le qualitatif

Avantages de ce couteau de survie extérieur

  • sa lame est magnifique
  • la qualité du couteau est visible
  • un étui de protection extrêmement qualitatif

Inconvénients du couteau pliant Yousunlong

  • une lame un peu courte

BearCraft Couteau Pliant en Carbone Design : le plus agréable en main

Avantages du couteau Bearcraft

  • la prise en main est tellement agréable, c’est un vrai plaisir
  • la lame du couteau est vraiment résistante !
  • ce couteau est vraiment léger pour sa taille

Inconvénients du couteau pliant

  • la gravure laisse à désirer sans que cela ne soit rédhibitoire


KATSU Couteau japonais de poche pliant, manche G10, lame en acier D2 : le plus pratique

Avantages de ce couteau Katsu

  • on est clairement sur un couteau de qualité. Cela se voit !
  • une esthétique irréprochable
  • la solidité de la lame

Inconvénients de ce couteau pliant japonais

  • on aurait préféré une lame de quelques centimètres de plus



CRKT 7270 Couteau fermant Mixte Adulte, Noir : le bon rapport qualité prix

Avantages du couteau fermant CRKT 7270

  • une lame de caractère que l’on adore chez nous
  • ce couteau est extrêmement robuste
  • les finitions sont justes impeccables

Inconvénients du couteau pliant

  • un peu lourd, on ne l’oublie pas dans la poche

Pourquoi utiliser un couteau pliant rétractable ?

Un couteau pliant rétractable est un outil essentiel pour un survivaliste car il offre une combinaison de fonctionnalités pratiques pour des situations de survie. Il est polyvalent et peut être utilisé pour une variété de tâches, telles que :

  • Couper des branches pour faire du feu : Les branches sont essentielles pour faire un feu de camp, et un couteau pliant rétractable est idéal pour couper des branches de différentes tailles en toute sécurité.
  • Préparer de la nourriture : Un couteau pliant rétractable peut être utilisé pour découper de la viande, éplucher des fruits et légumes, ouvrir des boîtes de conserve, etc. Il est essentiel pour préparer des repas en situation de survie.
  • Travaux de pêche et de chasse : Un couteau pliant rétractable est un outil idéal pour écailler les poissons, découper des appâts, ou pour récupérer les viandes après une chasse.
  • Construction d’abri : Il est utile pour couper les branches et les feuilles pour construire un abri temporaire en situation de survie.
  • Autodéfense : En cas d’urgence, un couteau pliant rétractable peut également être utilisé pour se défendre contre les animaux sauvages ou les agresseurs humains.

En plus de ces fonctionnalités pratiques, un couteau pliant rétractable est également plus facile à ranger et à transporter qu’un couteau fixe. Il peut être rangé dans un sac à dos ou une poche, ce qui est idéal pour les survivalistes qui doivent souvent se déplacer avec leur équipement. Enfin, un couteau pliant rétractable est généralement plus sûr car il peut être verrouillé pour éviter les coupures accidentelles.

Les éléments à considérer dans l’achat d’un couteau pliant de survie

Les couteaux pliants de survivalisme sont l’outil polyvalent par excellence pour l’homme/femme d’extérieur ou le bushcrafteur. Les couteaux modernes comportent une multitude d’outils différents équipés pour tous les scénarios possibles. Avec un peu de préparation, vous pouvez vous assurer de trouver le couteau pliant polyvalent parfait pour vous.

La taille est-elle importante ?

Les lames de type “Rambo” peuvent paraître impressionnantes mais elles sont encombrantes et peu maniables. Elles peuvent servir de hachoir, mais on peut alors argumenter en faveur du port d’une hache ou d’une machette à la place.

Ce que l’on peut appeler une lame de survie doit être capable d’effectuer des tâches délicates, mais aussi de gruger et de couper du bois plus grossier. Une bonne taille se situe entre 10 et 20cm de longueur de lame. Idéalement, c’est la lame qui s’adapte le mieux à vous, l’utilisateur.

Nous sommes chez Blog Survivalisme adaptes de lames de 13 à 15cm. Cela permet de bien manier les bâtons de bois, le dos étant suffisamment épais pour absorber les coups de bâton et le dos suffisamment long pour traverser des bûches de 8 à 10 cm d’épaisseur.

La lame que vous choisissez doit être bien ajustée, bien en place contre votre cuisse. Une lame soignée qui peut être dissimulée, si nécessaire, n’attire pas l’attention et s’inscrit généralement dans les paramètres légaux locaux et internationaux (si vous voyagez beaucoup).

La qualité de l’acier

Saviez-vous que tous les aciers ne sont pas créés égaux ? C’est un peu comme dans la cuisine, où chaque ingrédient a sa propre saveur et son importance. Pour un couteau de survie, choisir le bon acier, c’est un peu comme choisir le bon assaisonnement pour un plat. Vous avez besoin d’une lame en acier à haute teneur en carbone ou en acier inoxydable qui soit assez dure pour trancher du bois, mais aussi suffisamment souple pour ne pas se briser si elle rencontre une surface dure.

Chez nous, on aime bien recommander des couteaux qui ont passé haut la main les tests de résistance, de flexibilité et de durabilité. La dureté de la lame, c’est un peu le cœur de la fonctionnalité d’un couteau.

Imaginez des aciers plus mous. Ils peuvent devenir tranchants très facilement, mais ils ont un petit défaut : ils ne gardent pas leur tranchant très longtemps. Utilisez-les intensivement, et vous verrez vite le tranchant s’ébrécher ou le bord fin se retourner. Et si vous essayez de faire levier pour ouvrir quelque chose ou couper à travers, la lame risque de se tordre.

Mais attention, trop dur n’est pas idéal non plus. Un acier super dur peut s’écailler, et pire, se briser à l’impact. Je me souviens avoir vu une lame d’acier “trop dur” se briser en tombant sur le sol d’un atelier.

Pour parler technique, la dureté des lames est mesurée sur l’échelle de Rockwell. Les aciers plus tendres, comme ceux notés RC45, sont moins durs, alors que les valeurs montent jusqu’à RC65. Pour un couteau de survie, la dureté idéale se situe quelque part entre RC52 et 56, en fonction de l’acier et de sa composition. Ajouter un peu de chrome vanadium ou de nickel peut renforcer la résistance de l’acier et améliorer ses caractéristiques anti-corrosion. C’est un peu comme ajouter une pincée de sel pour rehausser la saveur d’un plat.

Les finitions

Une lame bien finie témoigne de la qualité de l’artisanat, et sa finition est de haut niveau. Le protège-main, le protège-croix ou la rainure pour les doigts, ou une combinaison de ces trois éléments, protégeront les doigts si votre main glisse vers l’avant du manche. Cela arrive plus souvent qu’on ne le pense.

La poignée elle-même doit offrir une prise solide, surtout lorsqu’elle est mouillée. La sueur, l’eau et le sang peuvent rendre la manipulation délicate si la poignée n’offre pas une prise suffisante.

Un bon “ventre”, c’est-à-dire un renflement au bas du manche à l’endroit où il s’insère dans la paume de la main et où les doigts s’enroulent autour, contribue à améliorer la prise.

Le matériau de la poignée peut être en bois, en caoutchouc, en écailles de G10 ou similaire, lisse ou à motifs. La principale exigence est que la prise en main soit ferme et sûre. L’arrière de la poignée doit présenter une partie de la soie en saillie. Cette pièce de la soie ou ce pommeau sur la lame est extrêmement utile.

Écraser des noix comestibles, broyer des graines, écraser de l’écorce pour en faire de la corde, vos options sont aussi diverses que les utilisations du tranchant. Il fera également un marteau utile et un outil de défense.

Fonction et forme

En fin de compte, c’est le tranchant qui compte. Que vous perciez des trous avec la pointe, enleviez des épines ou dépeciez un animal, le tranchant définira la lame.

Une lame à un seul tranchant est préférée pour sa facilité de manipulation et sa durabilité, notamment lorsqu’il s’agit d’enfoncer la lame dans un rondin de bois ou de frapper à la batte.
Un bord lisse est préférable à un bord dentelé ou partiellement dentelé et offre une plate-forme de coupe plus polyvalente. Lorsque vous coupez du bois ou que vous battez, les dentelures entravent le processus de fendage au lieu de l’aider.

Les lames plus dures sont plus difficiles à aiguiser. Cependant, une fois aiguisées, elles conservent leur tranchant beaucoup plus longtemps que les métaux plus tendres. Le profil ou la forme de la lame contribue à la conservation du tranchant :

  • Lames à affûtage plat
  • les lames convexes
  • Lames creuses
  • Lames à affûtage scandinave
  • Il en existe d’autres, comme l’affûtage sabre, l’affûtage tanto, mais les trois premiers sont les plus courants et les plus polyvalents.

L’angle d’affûtage d’une lame détermine également la longévité de son tranchant. Plus l’angle est fin, plus le tranchant s’émoussera rapidement, plus l’angle est grand, moins la lame sera tranchante.

L’angle optimal du tranchant est de 25 degrés, ce qui permet d’obtenir un tranchant de rasoir qui restera affûté plus longtemps tout en effectuant des tâches très exigeantes.

Couteau fixe ou pliant ?

En gros, quand on parle de couteaux de survie, on pense surtout aux lames fixes. C’est un peu comme avoir un couteau suisse dans la poche pour les petits trucs du quotidien, mais quand il s’agit de survie, rien ne vaut une bonne lame fixe. Elle est plus robuste, plus fiable, et sans pièces mobiles qui risquent de vous lâcher au mauvais moment.

La crème de la crème, c’est la lame fixe à soie pleine. Imaginez que la lame et la soie, c’est-à-dire la partie qui se fixe au manche, c’est presque une seule et même pièce. C’est cette “unicité” qui fait toute la solidité de la lame. Si le manche ne tient pas le coup, si la lame ou le manche flanchent, vous vous retrouvez sans un outil essentiel, sans un pommeau pour marteler.

Utiliser votre lame pour des trucs sérieux, comme ouvrir un chemin, couper du bois pour un abri, ou même dépecer et découper l’os d’un gibier, ça demande un outil qui ne craint pas les coups durs. Un couteau à la fabrication fragile, ça ne tiendra pas le coup face à une utilisation aussi intense.

Ajustement de la lame

Quand il s’agit de dépenser vos précieux sous, l’ergonomie n’est pas un luxe, c’est une nécessité. Pensez-y : la lame que vous choisirez sera votre compagne de tous les instants, elle doit donc être une extension naturelle de votre main, pour éviter ces fameux “points chauds” qui peuvent transformer une tâche simple en un véritable calvaire.

Imaginez une situation de survie, où chaque outil compte. Une ampoule, ça a l’air de rien, mais ça peut s’infecter et là, c’est le début des ennuis. Vous pourriez vous retrouver handicapé d’une main, et dans ces moments-là, c’est tout sauf idéal.

Quant à la poignée, elle doit être comme un gant pour votre main, assurant une prise ferme et naturelle. La lame, si elle est bien conçue, devrait suivre l’alignement de votre poignet quand vous serrez la poignée. Si ce n’est pas le cas, si la prise n’est pas bonne, la lame pourrait glisser, vous échapper… et là, c’est la porte ouverte à toutes sortes de mésaventures, des blessures aux dégâts matériels, que ce soit sur le couteau lui-même ou sur le projet sur lequel vous travaillez.

Forme de la lame ou profil de la lame

La forme de la lame, c’est un peu comme le caractère d’une personne : unique et cruciale pour son rôle. Chaque type de lame a ses fervents adeptes, et c’est bien normal, car le choix dépend avant tout de ce que vous attendez de votre couteau. Un peu comme choisir un bon ami, il faut qu’il soit polyvalent et fiable.

Les différentes formes de lames, elles ont évolué au fil du temps, un peu comme des outils spécialisés. Chacune a ses particularités, ses petits plus qui la rendent parfaite pour certaines tâches, mais peut-être moins pour d’autres. C’est un peu le compromis entre être un spécialiste ou un touche-à-tout.

Pour les survivalistes, ceux qui se préparent à affronter la nature dans ce qu’elle a de plus imprévisible, il y a deux formes de lames qui sortent du lot :

  • La pointe à clip, c’est un peu la polyvalente, celle qui sait faire un peu de tout.
  • La pointe tombante, c’est la spécialiste, celle qui excelle dans certaines tâches précises.

Ces formes sont réputées pour leur efficacité, un peu comme des couteaux suisses de la survie. Bien sûr, il y a d’autres formes, chacune avec ses points forts.

Prenons par exemple la pointe acérée. Elle est comme un couteau de chef : adaptable, prête à tout. Fixez-la au bout d’une perche, et vous avez une lance pour vous défendre, chasser, pêcher. Besoin de faire un trou dans du cuir, du bois, du tissu ou du plastique ? Elle est là. Envie de préparer un poisson ou de sculpter une cuillère en bois ? Encore elle. C’est un peu le couteau tout-terrain.

Mais rappelez-vous toujours de l’essentiel : pourquoi achetez-vous un couteau de survie ? C’est pour qu’il soit là, fidèle et efficace, dans toutes vos aventures.

Système de verrouillage

Quand il s’agit de choisir un couteau pliant, le système de verrouillage, c’est un peu le gardien de la sécurité et de l’efficacité de votre couteau. Comme pour choisir une serrure de maison, il y a différents types, et chacun a son petit caractère.

  • Le Lockback, c’est le classique, le vieux de la vieille. Imaginez une tige de métal jouant au gardien de but, bloquant la lame en position ouverte. Pour le refermer, il faut appuyer sur le dos du couteau, un peu comme pour dire “merci, c’est bon, tu peux te reposer”. Fiable et robuste, mais pas le plus simple à manier d’une main.
  • Le Liner Lock, lui, c’est le malin. Une partie de la doublure du manche glisse et coince la base de la lame. Un petit coup de pouce sur le côté, et le tour est joué. Pratique pour une utilisation d’une seule main, même si parfois, il n’est pas aussi costaud que ses copains.
  • Le Frame Lock ressemble à son cousin le Liner Lock, mais il utilise une partie du manche lui-même pour bloquer la lame. Plus solide, plus sûr, mais aussi un peu plus lourd et onéreux à fabriquer.
  • L’Axis Lock, c’est l’invention de Benchmade. Imaginez une petite tige qui traverse le manche pour bloquer la lame, un peu comme un verrou transversal. Réputé pour sa solidité, il s’adapte aussi bien aux gauchers qu’aux droitiers.
  • Le Compression Lock, développé par Spyderco, c’est un peu le sorcier de la bande. Un morceau de métal se faufile entre la lame et le stop pin, un peu comme un wedge. Placé à l’arrière du couteau, il est souvent considéré comme l’un des plus sûrs.

Le choix ? C’est comme choisir entre une voiture manuelle ou automatique. Pour un usage quotidien, un liner lock ou un frame lock peut faire l’affaire. Pour les aventures plus intenses, un lockback, un axis lock ou un compression lock pourrait être le compagnon idéal. Mais comme pour tout bon outil, assurez-vous de bien comprendre son fonctionnement et vérifiez toujours que le verrou est bien enclenché avant de vous lancer dans l’action.

Mécanisme d’ouverture

Quand on parle couteaux pliants, le mécanisme d’ouverture, c’est un peu comme choisir la bonne clé pour une serrure. Ça influence énormément la facilité d’utilisation et la sécurité de votre outil.

  • L’ouverture manuelle, c’est la méthode traditionnelle, un peu comme ouvrir une porte avec une clé ancienne. Vous devez appliquer une force directe sur la lame, souvent via un cran ou une encoche. Certains couteaux ont un petit plus, comme un “thumb stud” ou une “spider hole”, qui rendent l’ouverture d’une main aussi facile que de tourner une poignée de porte.
  • L’ouverture assistée, ou “speedsafe”, c’est comme avoir un ami qui vous aide à pousser une porte lourde. Vous commencez à ouvrir la lame, et un mécanisme prend le relais pour finir le boulot. C’est rapide, c’est fluide, parfait pour ces moments où chaque seconde compte.
  • Les couteaux automatiques, ou “switchblades”, c’est un peu la version James Bond des couteaux. Avec un bouton ou un levier, un ressort propulse la lame. C’est spectaculaire, mais attention, ils ne sont pas les bienvenus partout, avec des lois assez strictes dans certains coins.
  • Les “flippers”, eux, c’est comme avoir un petit levier sur votre couteau. Une pression sur une protubérance de la lame, et hop, elle s’ouvre. Certains ont même l’ouverture assistée pour plus de facilité.
  • Puis il y a les mécanismes à friction et à bille. Les couteaux à friction, c’est du pur old-school, sans ressort ni verrou, juste la friction entre la lame et le manche. Quant aux couteaux à bille, imaginez une petite bille qui roule doucement pour ouvrir et fermer la lame, un peu comme une porte coulissante bien huilée.

Chaque système a ses fans et ses détracteurs. Le choix dépend de ce que vous voulez faire avec votre couteau, des lois locales et de ce qui vous semble naturel en main. L’idéal, c’est de tester différents mécanismes pour trouver celui qui vous convient le mieux, un peu comme essayer différentes chaussures avant de trouver la paire parfaite.

En synthèse, que retenir de tout ça ?

Pour choisir le meilleur couteau pliant rétractable, il faut prendre en compte plusieurs éléments.
Quel que soit le couteau de survie que vous choisissez, travaillez avec votre couteau autant que possible et entraînez-vous. C’est le début de votre voyage et vous verrez que vous aurez envie d’explorer le monde des lames

Sortez dans la nature et prenez plaisir à utiliser votre lame, n’oubliez pas que rien ne remplace l’entraînement ou l’expérience.

Voilà, nous espérons que ce guide d’achat du meilleur couteau pliant vous aura plu et permis de faire le bon choix pour votre activité favorite ou votre pack de survie !